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Il arrive sur la scène avec la nonchalance d'un inspecteur désabusé des bons vieux polars d'après guerre. ''Tiens voilà un jeune Michel Audiard qui se lance dans la chanson'' se dit-on... puis il redresse la tête et on devient tout de suite complice de son ironie. Car Sylvain Asselot à la goguenardise contagieuse et généreuse. Et nous voilà emporté dans un monde où chacun se remémore ses instants d'errances non sans humour ni swing. Car le secret de l'animal c'est un humour à la Droopy sur des mélodies bien troussées, des arrangements impeccables. On n'a pas de mal à l'imaginer devant sa page blanche avec sur une épaule Tonton Georges et sur l'autre Paul Mac Cartney.

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